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1.
Can J Anaesth ; 70(7): 1234-1243, 2023 07.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-37344744

RESUMO

PURPOSE: Hospitalized patients with cancer who experience cardiopulmonary arrest have historically low survival rates. This retrospective cohort study describes outcomes of patients at a large Canadian cancer centre who had a "code medical emergency" activated, and the use of pragmatic criteria to identify patients with poor survival following resuscitation. METHODS: We included hospitalized patients with cancer who had a "code blue" activated between January 2007 and December 2018. Our primary outcome was intensive care unit (ICU) mortality. We developed pragmatic criteria to identify patients with "poor prognosis" for survival from cardiopulmonary resuscitation (CPR) based on disease status and candidacy for further cancer treatment. We used descriptive statistics to analyze the outcomes of poor prognosis patients. RESULTS: Two hundred and twenty-five patients had a code blue activated. The median age was 61 yr, 52% were male, and 48% had a solid tumour. Overall, 173/225 (77%) patients survived the code blue; 164 were admitted to the ICU, where 49% (81/164) died; 31% survived to hospital discharge; and 16% (n = 27) were alive at one year. One hundred and twenty out of 225 (53%) required chest compressions; spontaneous circulation returned in 61% (73/120), and 12% (14/120) survived to hospital discharge. Patients meeting "poor prognosis" criteria (114, 51%) were more likely to die in the ICU (64% vs 35%; P < 0.001) or in hospital (86% vs 59%; P < 0.001), and more often had goals-of-care discussions prior to the code blue (46% vs 7%; P < 0.001). At one year, only 2% of poor prognosis patients were alive, compared with 24% of patients who did not meet any poor prognosis criteria. CONCLUSION: Hospitalized patients with cancer requiring CPR have poor hospital and long-term outcomes. The proposed set of pragmatic criteria may be useful to identify patients unlikely to benefit from CPR and life support, to trigger early goals of care discussions, and to avoid potentially goal-discordant interventions.


RéSUMé: OBJECTIF: Les patient·es hospitalisé·es atteint·es d'un cancer qui subissent un arrêt cardiorespiratoire ont des taux de survie historiquement bas. Cette étude de cohorte rétrospective décrit les issues des patient·es d'un grand centre canadien de cancérologie pour qui un « code d'urgence médicale ¼ a été activé et l'utilisation de critères pragmatiques pour identifier les patient·es ayant une faible survie après réanimation. MéTHODE: Nous avons inclus les personnes hospitalisées atteintes d'un cancer pour qui un « code bleu ¼ avait été activé entre janvier 2007 et décembre 2018. Notre critère d'évaluation principal était la mortalité à l'unité de soins intensifs (USI). Nous avons développé des critères pragmatiques pour identifier les personnes ayant un « mauvais pronostic ¼ de survie à la réanimation cardiorespiratoire (RCR) en fonction de l'état de la maladie et de leur éligibilité à un traitement ultérieur contre le cancer. Nous avons utilisé des statistiques descriptives pour analyser les issues des patient·es ayant un mauvais pronostic. RéSULTATS: Un code bleu a été activé pour deux cent vingt-cinq patient·es. L'âge médian était de 61 ans, 52 % étaient des hommes et 48 % avaient une tumeur solide. Dans l'ensemble, 173/225 (77 %) patient·es ont survécu au code bleu; 164 ont été admis·es aux soins intensifs, où 49 % (81/164) sont décédé·es; 31 % ont survécu jusqu'à leur congé de l'hôpital; et 16 % (n = 27) étaient en vie après un an. Cent vingt sur 225 (53 %) ont nécessité des compressions thoraciques; la circulation spontanée est revenue chez 61 % (73/120), et 12 % (14/120) ont survécu jusqu'à leur congé de l'hôpital. Les patient·es répondant aux critères de « mauvais pronostic ¼ (114, 51 %) étaient plus susceptibles de mourir à l'USI (64 % vs 35 %; P < 0,001) ou à l'hôpital (86 % vs 59 %; P < 0,001) et avaient plus souvent eu des discussions sur les objectifs de soins avant l'activation du code bleu (46 % vs 7 %; P < 0,001). À un an, seulement 2 % des patient·es ayant un mauvais pronostic étaient en vie, contre 24 % des patient·es qui ne présentaient aucun critère de mauvais pronostic. CONCLUSION: Les personnes hospitalisées atteintes d'un cancer nécessitant une RCR ont de mauvaises issues intra-hospitalières et à plus long terme. L'ensemble de critères pragmatiques proposé peut être utile pour identifier la patientèle peu susceptible de bénéficier de la RCR et du maintien des fonctions vitales, pour amorcer rapidement des discussions sur les objectifs de soins et pour éviter les interventions potentiellement discordantes par rapport à ces objectifs.


Assuntos
Reanimação Cardiopulmonar , Parada Cardíaca , Neoplasias , Humanos , Masculino , Pessoa de Meia-Idade , Feminino , Estudos Retrospectivos , Canadá , Parada Cardíaca/terapia , Neoplasias/terapia
2.
Can J Anaesth ; 70(3): 384-394, 2023 03.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-36627462

RESUMO

PURPOSE: We sought to explore the lived experiences of a professionally diverse sample of healthcare workers (HCWs) in a single intensive care unit (ICU) serving a large and generalizable Canadian population. We aimed to understand how working during the COVID-19 pandemic affected their professional and personal lives, including their perceptions of institutional support, to inform interventions to ameliorate impacts of the COVID-19 and future pandemics. METHODS: In this qualitative descriptive study, 23 ICU HCWs, identified using convenience purposive sampling, took part in individual semistructured interviews between July and November 2020, shortly after the first wave of the pandemic in Ontario. We used inductive thematic analysis to identify major themes. RESULTS: We identified five major themes related to the COVID-19 pandemic: 1) communication and informational needs (e.g., challenges communicating policy changes); 2) adjusting to restricted visitation (e.g., spending less time interacting with patients); 3) staffing and workplace supports (e.g., importance of positive team dynamics); 4) permeability of professional and personal lives (e.g., balancing shift work and childcare); and 5) a dynamic COVID-19 landscape (e.g., coping with constant change). The COVID-19 pandemic contributed to HCWs in the ICU experiencing varied negative repercussions on their work environment, including staffing and institutional support, which carried into their personal lives. CONCLUSION: Healthcare workers in the ICU perceived that the COVID-19 pandemic had negative repercussions on their work environment, including staffing and institutional support, as well as their professional and personal lives. Understanding both the negative and positive experiences of all ICU HCWs working during the COVID-19 pandemic is critical to future pandemic preparedness. Their perspectives will help to inform the development of mental health and wellbeing interventions to support staff during the COVID-19 pandemic and beyond.


RéSUMé: OBJECTIF: Nous avons cherché à explorer les expériences vécues par un échantillon varié de travailleurs de la santé (TS) dans une seule unité de soins intensifs (USI) desservant une population canadienne vaste et généralisable. Notre objectif était de comprendre comment le travail pendant la pandémie de COVID-19 a affecté leur vie professionnelle et personnelle, y compris leurs perceptions du soutien institutionnel, afin d'éclairer les interventions visant à atténuer les impacts de la COVID-19 et des pandémies futures. MéTHODE: Dans cette étude qualitative descriptive, 23 travailleurs de la santé en soins intensifs, identifiés à l'aide d'un échantillonnage raisonné de commodité, ont participé à des entrevues individuelles semi-structurées entre juillet et novembre 2020, peu après la première vague de la pandémie en Ontario. Nous avons utilisé l'analyse thématique inductive pour identifier les principaux thèmes. RéSULTATS: Nous avons cerné cinq grands thèmes liés à la pandémie de COVID-19 : 1) les besoins en matière de communication et d'information (p. ex., les difficultés à communiquer les changements de politiques); 2) l'adaptation aux visites restreintes (p. ex., le fait de passer moins de temps à interagir avec les patients); 3) le soutien à la dotation en personnel et au milieu de travail (p. ex., l'importance d'une dynamique d'équipe positive); 4) la perméabilité de la vie professionnelle et personnelle (p. ex., l'équilibre entre le travail en quarts et la garde des enfants); et 5) le paysage dynamique de la COVID-19 (p. ex., l'adaptation à des changements constants). La pandémie de COVID-19 a contribué à ce que les travailleurs de la santé de l'USI subissent divers impacts négatifs sur leur environnement de travail, y compris sur la dotation en personnel et le soutien institutionnel, qui se sont répercutés sur leur vie personnelle. CONCLUSION: Les travailleurs de la santé de l'USI ont perçu que la pandémie de COVID-19 avait eu des répercussions négatives sur leur environnement de travail, y compris sur la dotation en personnel et le soutien institutionnel, ainsi que sur leur vie professionnelle et personnelle. Il est essentiel de comprendre les expériences négatives et positives de tous les travailleurs de la santé des soins intensifs travaillant pendant la pandémie de COVID-19 pour bien se préparer aux pandémies futures. Leurs points de vue aideront à l'élaboration d'interventions en santé mentale et en bien-être pour soutenir le personnel pendant la pandémie de COVID-19 et au-delà.


Assuntos
COVID-19 , Humanos , Pandemias , Unidades de Terapia Intensiva , Ontário/epidemiologia , Local de Trabalho , Pessoal de Saúde
3.
PLoS One ; 17(2): e0263438, 2022.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-35167590

RESUMO

OBJECTIVES: We aimed to evaluate the personal, professional, and psychological impact of the COVID-19 pandemic on hospital workers and their perceptions about mitigating strategies. DESIGN: Cross-sectional web-based survey consisting of (1) a survey of the personal and professional impact of the COVID-19 pandemic and potential mitigation strategies, and (2) two validated psychological instruments (Kessler Psychological Distress Scale [K10] and Impact of Events Scale Revised [IES-R]). Regression analyses were conducted to identify the predictors of workplace stress, psychological distress, and post-traumatic stress. SETTING AND PARTICIPANTS: Hospital workers employed at 4 teaching and 8 non-teaching hospitals in Ontario, Canada during the COVID-19 pandemic. RESULTS: Among 1875 respondents (84% female, 49% frontline workers), 72% feared falling ill, 64% felt their job placed them at great risk of COVID-19 exposure, and 48% felt little control over the risk of infection. Respondents perceived that others avoided them (61%), reported increased workplace stress (80%), workload (66%) and responsibilities (59%), and 44% considered leaving their job. The psychological questionnaires revealed that 25% had at least some psychological distress on the K10, 50% had IES-R scores suggesting clinical concern for post-traumatic stress, and 38% fulfilled criteria for at least one psychological diagnosis. Female gender and feeling at increased risk due to PPE predicted all adverse psychological outcomes. Respondents favoured clear hospital communication (59%), knowing their voice is heard (55%), expressions of appreciation from leadership (55%), having COVID-19 protocols (52%), and food and beverages provided by the hospital (50%). CONCLUSIONS: Hospital work during the COVID-19 pandemic has had important personal, professional, and psychological impacts. Respondents identified opportunities to better address information, training, and support needs.


Assuntos
COVID-19/epidemiologia , Pessoal de Saúde/psicologia , Adaptação Psicológica , Adulto , COVID-19/virologia , Estudos Transversais , Feminino , Humanos , Masculino , Pessoa de Meia-Idade , Estresse Ocupacional , Ontário/epidemiologia , Pandemias , Angústia Psicológica , Risco , SARS-CoV-2/isolamento & purificação , Transtornos de Estresse Pós-Traumáticos/etiologia , Inquéritos e Questionários , Carga de Trabalho
4.
Can J Anaesth ; 69(4): 472-484, 2022 04.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-34940952

RESUMO

PURPOSE: To evaluate the impact of the COVID-19 pandemic on Canadian intensive care unit (ICU) workers. METHODS: Between June and August 2020, we distributed a cross-sectional online survey of ICU workers evaluating the impact of the pandemic, coping strategies, symptoms of post-traumatic stress disorder (PTSD; Impact of Events Scale-Revised), and psychological distress, anxiety, and depression (Kessler Psychological Distress Scale). We performed regression analyses to determine the predictors of psychological symptoms. RESULTS: We analyzed responses from 455 ICU workers (80% women; 67% from Ontario; 279 nurses, 69 physicians, and 107 other healthcare professionals). Respondents felt that their job put them at great risk of exposure (60%), were concerned about transmitting COVID-19 to family members (76%), felt more stressed at work (67%), and considered leaving their job (37%). Overall, 25% had probable PTSD and 18% had minimal or greater psychological distress. Nurses were more likely to report PTSD symptoms (33%) and psychological distress (23%) than physicians (5% for both) and other health disciplines professionals (19% and 14%). Variables associated with PTSD and psychological distress included female sex (beta-coefficient [B], 1.59; 95% confidence interval [CI], 1.20 to 2.10 and B, 3.79; 95% CI, 1.79 to 5.78, respectively; P < 0.001 for differences in scores across groups) and perceived increased risk due to PPE shortage or inadequate PPE training (B, 1.87; 95% CI, 1.51 to 2.31 and B, 4.88; 95% CI, 3.34 to 6.43, respectively). Coping strategies included talking to friends/family/colleagues (80%), learning about COVID-19 (78%), and physical exercise (68%). Over half endorsed the following workplace strategies as valuable: hospital-provided scrubs, clear communication and protocols by hospitals, knowing their voice is heard, subsidized parking, and gestures of appreciation from leadership. CONCLUSIONS: This survey study shows that ICU workers have been impacted by the COVID-19 pandemic with high levels of stress and psychological burden. Respondents endorsed communication, protocols, and appreciation from leadership as helpful mitigating strategies.


RéSUMé: OBJECTIF: Évaluer l'impact de la pandémie de COVID-19 sur les travailleurs canadiens des unités de soins intensifs (USI). MéTHODE: Entre juin et août 2020, nous avons fait parvenir un sondage transversal en ligne aux travailleurs des soins intensifs pour évaluer l'impact de la pandémie, les stratégies d'adaptation et les symptômes de stress post-traumatique (SPT; Échelle révisée de l'impact de l'événement - IES-R), ainsi que la détresse psychologique, l'anxiété et la dépression (Échelle de détresse psychologique de Kessler). Nous avons réalisé des analyses de régression pour déterminer les prédicteurs de symptômes psychologiques. RéSULTATS: Nous avons analysé les réponses de 455 travailleurs des soins intensifs (80 % de femmes; 67 % de l'Ontario; 279 infirmières/infirmiers, 69 médecins et 107 autres professionnels de la santé). Les répondants ont estimé que leur emploi les plaçait face à un risque élevé d'exposition (60 %), craignaient de transmettre la COVID-19 aux membres de leur famille (76 %), se sentaient plus stressés au travail (67 %) et avaient envisagé de quitter leur emploi (37 %). Dans l'ensemble, 25 % souffraient probablement d'un SPT et 18 % présentaient une détresse psychologique minimale ou supérieure. Les infirmières et infirmiers étaient plus susceptibles de rapporter des symptômes de SPT (33 %) et de détresse psychologique (23 %) que les médecins (5 % pour les deux) et les professionnels de la santé des autres disciplines (19 % et 14 %). Les variables associées à un SPT et à la détresse psychologique comprenaient le sexe féminin (coefficient bêta [B], 1,59; intervalle de confiance [IC] à 95 %, 1,20 à 2,10 et B, 3,79; IC 95 %, 1,79 à 5,78, respectivement; P < 0,001 pour les différences de scores entre les groupes) et la perception d'un risque accru en raison des pénuries d'EPI ou d'une formation inadéquate en EPI (B, 1,87; IC 95 %, 1,51 à 2,31 et B, 4,88; IC 95 %, 3,34 à 6,43, respectivement). Les stratégies d'adaptation comprenaient le fait de parler aux amis, à la famille ou aux collègues (80 %), l'acquisition de connaissances concernant la COVID-19 (78 %) et l'exercice physique (68 %). Plus de la moitié ont estimé que les stratégies de travail suivantes étaient utiles : des uniformes fournis par les hôpitaux, une communication et des protocoles clairs de la part des hôpitaux, le fait de savoir que leur voix est entendue, un stationnement subventionné et des gestes d'appréciation de la part des dirigeants. CONCLUSION: Cette étude montre que les travailleurs des soins intensifs ont été touchés par la pandémie de COVID-19 avec des niveaux élevés de stress et de fardeau psychologique. Les répondants ont déclaré que la communication, les protocoles et les gestes d'appréciation de la direction constituaient des stratégies d'atténuation utiles.


Assuntos
COVID-19 , Pandemias , COVID-19/epidemiologia , Estudos Transversais , Feminino , Pessoal de Saúde/psicologia , Humanos , Unidades de Terapia Intensiva , Masculino , Ontário/epidemiologia , SARS-CoV-2 , Inquéritos e Questionários
5.
J Pharm Technol ; 36(2): 54-60, 2020 Apr.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-34752519

RESUMO

Background: Proton pump inhibitors (PPIs) are often prescribed for elderly patients without appropriate indication, or for longer durations than recommended. Objective: To review appropriateness of PPI use prior to and in hospital, and deprescribing rates across different hospital units. Methods: Retrospective analysis of patients ≥65 years admitted to 5 acute care units: intensive care unit, acute care for elderly, orthopedics, surgery, and medicine. Patients who were "non-naive" (prehospital PPI use) or "naive" (new PPI initiated in hospital) users were included. For both groups, demographics, reason for admission, length of stay, comorbidities, name and number of home medications, PPI name, dose and indication, and PPI discharge instructions were collected. For naive patients, duration of in-hospital use and prescriber specialty was recorded. Results: Among non-naive patients (n = 377), for 37 patients (10%), the indication for a PPI was not appropriate, and for 92 patients (24%), the indication was unclear. Most patients had their home PPI continued while in hospital (87%) and at discharge (90%). Among naive (n = 93) patients, for 8 patients (9%), the indication for a PPI was not appropriate, and for 25 (27%) patients, the indication was unclear. PPI was prescribed to only 16 (18%) by the gastrointestinal consult service. Most patients had their new PPI continued at discharge (74%); only 7 (9%) were discharged with a plan to reassess PPI indication. Conclusion: PPIs are infrequently deprescribed during hospital admission, despite inappropriate or unclear indications for use. Thorough medication reconciliation, documentation of PPI indication and duration, and institutional focus on deprescribing are encouraged.

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